samedi 16 février 2013

L'Homme à la caméra


 
 
Titre : L’Homme à la caméra

Réalisateur : Dziga Verov

Date de sortie : 1929
 
 
 
 
Critique du film
L’Homme à la camera, quoiqu’il est muet, est un film qui en dit long. Pour ma part, j’ai décrypté dans ce film plusieurs messages. Puisque c’est un film mettant en scène que des évènements de la vie courante, il y a plusieurs tabous ainsi que des actions banales qui sont révélés. Cela nous permet d’analyser les différences entre aujourd’hui et le passé pour en décoder des messages. Bref, ce cour résumer pour affirmer que ce film est un merveilleux film. Il est cependant pas celui que l’on devrait louer pour écouter un bon film en bonne compagnie, mais plutôt lorsque nous sommes attentifs et ouverts d’esprit. L’inconvénient de ce film est qu’il ne possède aucune bande sonore. Lorsque je l’ai écouté, il y avait en arrière-plan, un album de Madona qui jouait et cela fut fort agréable puisque l’attention y était d’avantage. En somme, ce film a des raisons d’être coté aussi élevé et je le recommande au passionné de cinéma.

Biographie
Voici la biographie du réalisateur de L’Homme à la caméra et deux autres biographies de deux grands personnages de l’histoire du cinéma soviétique.

Dziga Vertov
Dziga Vertov est né en 1896, en Bialystok, en Pologne. Dès son plus jeune âge, Dziga fut plongé dans la connaissance de tous les domaines de l’art et se veut être un révolutionnaire de pensée. Il finit ces études et  s’adonne à des expériences sonores. Suite à cela, il rejoint la Révolution d’où il deviendra rédacteur et monteur du premier journal filmé. Dès ce moment, il débutera sa carrière de cinéaste. Celui-ci voyagera beaucoup durant sa vie. Il va mourir en en 1954, à Moscou, en Russie.

Lev Koulechov
Lev Koulechov est né en 1899, à Tambov, en Russie. Dès qu’il atteint l’âge adulte, celui-ci dirigera une école de cinéma dans la Capitale de la Russie. Il créera son propre laboratoire d’où il fera ses propres enquêtes sur le cinéma, et son langage. Il deviendra ainsi un grand scientifique du cinéma et créera un effet dénommé l’effet Koulechov. Il réalisera aussi quelques films marquant pour l’histoire cinématographique russe. Il est mort en 1970 à Moscou, en Russie.

Sergei Eisenstein
Sergei Eisenstein est né en 1898, à Riga, en Lettonie. Celui-ci commencera ses études en ingénierie, mais abandonnera ses études pour s’engager dans l’Armée Rouge. À la suite de la Révolution d’octobre, il débuta sa carrière en tant que metteur en scène et décorateur de théâtres. Il fera grand succès et débutera le cinéma peu de temps après. Ses innovations pour le montage de ses scènes cinématographiques vont être extraordinaires. Celui-ci deviendra donc un des principaux pionniers du metteur en scène sur les plateaux de tournages. Il voyagera énormément. Sergei est décédé en 1948, à Moscou.

dimanche 10 février 2013

Quand la Panthère rose s’emmêle






Titre : Quand la Panthère rose s’emmêle
(The Pink Panther Strikes Again)

Réalisateur : Blacke Edwards

Date de sortie : 1976


 

Synopsis
Quelques années auparavant, Clouseau, ou plutôt ses maladresses,  ont fait sombrer son commissaire, M. Dreyfus, dans une énorme folie. Suite à trois années de détention dans un centre psychiatrique, M. Dreyfus est sur le point d’être autorisé à quitter le centre lorsqu’une visite de Clouseau le fait retombé dans une folie. L’ex commissaire va donc devenir un ténébreux criminel voulant qu’une chose : éliminer son pire ennemie… le détective Clouseau!

Caractéristique du film
Il y a de nombreuses caractéristiques reliées au film burlesque. Il y a le running gag. Par exemple, la jeune femme qui tente de le séduire revient à quelques reprises. Également, lorsqu'il essaie de traverser le pont pour se rendre au chateau. Évidemment, le jeu physique du détective Clouseau se démarque et est associer au film burlesque. Les blagues absurdes par rapport au nom des personnes par exemple, ou par rapport au commentaire stupide de l’inspecteur vient directement se lier au genre du film. Par exemple, lorsque Clouseau dit une blague par rapport ‘’aux mains d’acier’’ et qu’il porte un gant de chevalier.

Critique
Ceci est un excellant film. Le détective Clouseau est toujours aussi stupide et drôle du premier au deuxième film de la Panthère Rose. Cependant, celui-ci n’est pas celui ou le détective enquête le plus, où il y a le plus d’énigmes. Nous avons l’impression qu’il n’y a aucune énigme qu’il doit résoudre. Cependant, ceci ne change pas que le détective réussis très bien à détruire tout ce qu’il y a sur son passage et à effrayer tout le monde. Petit clin d’œil qui m’impressionne à chaque fois, lorsque nous voyons le détective avec la panthère rose, il y a plein de clin d’œil que le film fait a d’autre film marquant de l’histoire du cinéma. Cela ajoute un aspect fort intéressant au film. De plus, lors des dialogues du détective fait de nombreux jeu de mot très rechercher, mais ceux-ci passent très vite. Donc nous n’avons pas le temps de tout entendre à la première écoute. En somme, ce film est très bon et mérite d’être vu.

 
Voici un cour extrait du film :

samedi 2 février 2013

Les Temps Modernes






Titre : Les Temps Modernes (Modern Times)

Réalisateur : Charles Chaplin

Date de sortie : 1936

 

 

Filmographie de Charles Chaplin
Le kid (1928)
L'opinion publique (1923)
La ruée vers l'or (1925)
Le cirque (1926)
Les lumières de la ville (1931)
Les temps modernes (1936)
Le grand dictateur (1940)
Monsieur Verdoux (1947)
Les feux de la rampe (1952)
Un roi à New York (1957)
La comtesse de Hong Kong (1966)

Synopsis

Dans ce film, Charlot est désormais confronté aux années d’industrialisation. Il est donc un ouvrier d’une gigantesque usine, où plusieurs malheurs lui arriveront. Il se retrouve donc face aux nombreux problèmes de grèves et de chômage. À cause de plusieurs malentendus, Charlot va se retrouve en prison, ou il se fera des amis et des ennemies. Puisqu’en prison, ce dernier sera bien traité, il fera tout pour ne pas en sortir ou pour y retourné. Entre ces malheurs, Charlot rencontrera une magnifique femme d’où une histoire d’amour commencera…

Les caractéristiques du film
Le film est un film burlesque. Par les simples faits du contenu de l’histoire. Il y a un accent faramineux sur le jeu physique des acteurs et la rapidité des mouvements rapides. Et cela va de soit puisque les personnages ne parlent pas, ou peu. Il y a beaucoup de ‘’running gag’’. Prenons juste exemple sur l’éponge sur la machine qui nourrit les employés qui vient éponger Charlot à chaque fois qu’il mange quelques choses. Elle est répétée si souvent que la blague devient de plus en plus drôle. La bastonnade fait également partie d’une des caractéristiques burlesques et se retrouve dans le film. Par exemple, la machine à faire manger les employés. Charlie ce fait asperger de soupe et ce fait écraser une tarte en plein visage. Il y a également énormément de blagues absurdes qui viennent alimenter l’univers comique du film. Par exemple, lorsque Charlot cherche un morceau de bois en forme de triangle et qu’il le trouve en dessous d’un support a bateau ou lorsque Charlot prend le drapeau qu’un camion a échappé et qu’il se retrouve en tant que leader de la grève. Tout cela font que le film est évidemment un film burlesque.

Critique
Quel merveilleux film! Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à chaque seconde du film. Chaplin réussis si bien à faire parler son corps qu’il n’a même pas besoin de parler pour que nous comprenions dans quel pétrin il s’est embarqué. J’ai été charmé par ce film dès la seconde où le film a débuté. Il y a également dans ce film, une touche sentimentale. Par exemple, lorsque nous voyons l’amie de Chaplin tout émerveillée par le centre commercial. Bref, ce film a fait ma semaine. Je ne fais que penser a Charlot depuis l’écoute de ce film. Il est évident que si vous n’avez pas vu ce film, il faut le voir au plus vite!



Pour vous donner un avant-goût, voici une petite bande annonce du film :