Bonjour à vous, internautes. Je me nomme Vincent Lachapelle et je suis un étudiant du Cégep de Granby de la Haute-Yamaska en arts et lettres, en profil cinéma et communication. Dans ce programme, nous avons comme projet d’utiliser un blogue afin de publier nos réflexions sur l’art du cinéma. Au plaisir d’avoir vos commentaires.
L’Homme
à la camera, quoiqu’il est muet, est un film qui en dit
long. Pour ma part, j’ai décrypté dans ce film plusieurs messages. Puisque c’est
un film mettant en scène que des évènements de la vie courante, il y a
plusieurs tabous ainsi que des actions banales qui sont révélés. Cela nous
permet d’analyser les différences entre aujourd’hui et le passé pour en décoder
des messages. Bref, ce cour résumer pour affirmer que ce film est un
merveilleux film. Il est cependant pas celui que l’on devrait louer pour
écouter un bon film en bonne compagnie, mais plutôt lorsque nous sommes
attentifs et ouverts d’esprit. L’inconvénient de ce film est qu’il ne possède
aucune bande sonore. Lorsque je l’ai écouté, il y avait en arrière-plan, un
album de Madona qui jouait et cela fut fort agréable puisque l’attention y
était d’avantage. En somme, ce film a des raisons d’être coté aussi élevé et je
le recommande au passionné de cinéma.
Biographie
Voici la biographie du
réalisateur de L’Homme à la caméra et
deux autres biographies de deux grands personnages de l’histoire du cinéma
soviétique.
Dziga Vertov
Dziga Vertov est né en 1896,
en Bialystok, en Pologne. Dès son plus jeune âge, Dziga fut plongé dans la
connaissance de tous les domaines de l’art et se veut être un révolutionnaire
de pensée. Il finit ces études et s’adonne
à des expériences sonores. Suite à cela, il rejoint la Révolution d’où il deviendra
rédacteur et monteur du premier journal filmé. Dès ce moment, il débutera sa
carrière de cinéaste. Celui-ci voyagera beaucoup durant sa vie. Il va mourir en
en 1954, à Moscou, en Russie.
Lev Koulechov
Lev Koulechov est né en
1899, à Tambov, en Russie. Dès qu’il atteint l’âge adulte, celui-ci dirigera une
école de cinéma dans la Capitale de la Russie. Il créera son propre laboratoire
d’où il fera ses propres enquêtes sur le cinéma, et son langage. Il deviendra ainsi
un grand scientifique du cinéma et créera un effet dénommé l’effet Koulechov. Il réalisera aussi
quelques films marquant pour l’histoire cinématographique russe. Il est mort en
1970 à Moscou, en Russie.
Sergei Eisenstein
Sergei Eisenstein est né en
1898, à Riga, en Lettonie. Celui-ci commencera ses études en ingénierie, mais
abandonnera ses études pour s’engager dans l’Armée Rouge. À la suite de la
Révolution d’octobre, il débuta sa carrière en tant que metteur en scène et
décorateur de théâtres. Il fera grand succès et débutera le cinéma peu de temps
après. Ses innovations pour le montage de ses scènes cinématographiques vont
être extraordinaires. Celui-ci deviendra donc un des principaux pionniers du
metteur en scène sur les plateaux de tournages. Il voyagera énormément. Sergei
est décédé en 1948, à Moscou.
Titre
: Quand la Panthère rose s’emmêle (The Pink Panther Strikes Again)
Réalisateur
: Blacke Edwards
Date
de sortie : 1976
Synopsis
Quelques années auparavant,
Clouseau, ou plutôt ses maladresses, ont
fait sombrer son commissaire, M. Dreyfus, dans une énorme folie. Suite à trois
années de détention dans un centre psychiatrique, M. Dreyfus est sur le point
d’être autorisé à quitter le centre lorsqu’une visite de Clouseau le fait
retombé dans une folie. L’ex commissaire va donc devenir un ténébreux criminel
voulant qu’une chose : éliminer son pire ennemie… le détective Clouseau!
Caractéristique du film
Il y a de nombreuses
caractéristiques reliées au film burlesque. Il y a le running gag. Par exemple,
la jeune femme qui tente de le séduire revient à quelques reprises. Également, lorsqu'il essaie de traverser le pont pour se rendre au chateau. Évidemment,
le jeu physique du détective Clouseau se démarque et est associer au film
burlesque. Les blagues absurdes par rapport au nom des personnes par exemple,
ou par rapport au commentaire stupide de l’inspecteur vient directement se lier
au genre du film. Par exemple, lorsque Clouseau dit une blague par rapport ‘’aux
mains d’acier’’ et qu’il porte un gant de chevalier.
Critique
Ceci est un excellant film.
Le détective Clouseau est toujours aussi stupide et drôle du premier au
deuxième film de la Panthère Rose. Cependant, celui-ci n’est pas celui ou le
détective enquête le plus, où il y a le plus d’énigmes. Nous avons l’impression
qu’il n’y a aucune énigme qu’il doit résoudre. Cependant, ceci ne change pas
que le détective réussis très bien à détruire tout ce qu’il y a sur son passage
et à effrayer tout le monde. Petit clin d’œil qui m’impressionne à chaque fois,
lorsque nous voyons le détective avec la panthère rose, il y a plein de clin
d’œil que le film fait a d’autre film marquant de l’histoire du cinéma. Cela
ajoute un aspect fort intéressant au film. De plus, lors des dialogues du
détective fait de nombreux jeu de mot très rechercher, mais ceux-ci passent
très vite. Donc nous n’avons pas le temps de tout entendre à la première
écoute. En somme, ce film est très bon et mérite d’être vu.
Dans ce film, Charlot est désormais confronté aux années
d’industrialisation. Il est donc un ouvrier d’une gigantesque usine, où plusieurs
malheurs lui arriveront. Il se retrouve donc face aux nombreux problèmes de
grèves et de chômage. À cause de plusieurs malentendus, Charlot va se retrouve
en prison, ou il se fera des amis et des ennemies. Puisqu’en prison, ce dernier
sera bien traité, il fera tout pour ne pas en sortir ou pour y retourné. Entre
ces malheurs, Charlot rencontrera une magnifique femme d’où une histoire d’amour
commencera…
Les caractéristiques du film
Le film est un film burlesque. Par les simples faits du
contenu de l’histoire. Il y a un accent faramineux sur le jeu physique des
acteurs et la rapidité des mouvements rapides. Et cela va de soit puisque les
personnages ne parlent pas, ou peu. Il y a beaucoup de ‘’running gag’’. Prenons
juste exemple sur l’éponge sur la machine qui nourrit les employés qui vient
éponger Charlot à chaque fois qu’il mange quelques choses. Elle est répétée si
souvent que la blague devient de plus en plus drôle. La bastonnade fait
également partie d’une des caractéristiques burlesques et se retrouve dans le
film. Par exemple, la machine à faire manger les employés. Charlie ce fait
asperger de soupe et ce fait écraser une tarte en plein visage. Il y a
également énormément de blagues absurdes qui viennent alimenter l’univers
comique du film. Par exemple, lorsque Charlot cherche un morceau de bois en
forme de triangle et qu’il le trouve en dessous d’un support a bateau ou
lorsque Charlot prend le drapeau qu’un camion a échappé et qu’il se retrouve en
tant que leader de la grève. Tout cela font que le film est évidemment un film
burlesque.
Critique
Quel merveilleux film! Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à
chaque seconde du film. Chaplin réussis si bien à faire parler son corps qu’il
n’a même pas besoin de parler pour que nous comprenions dans quel pétrin il s’est
embarqué. J’ai été charmé par ce film dès la seconde où le film a débuté. Il y
a également dans ce film, une touche sentimentale. Par exemple, lorsque nous voyons
l’amie de Chaplin tout émerveillée par le centre commercial. Bref, ce film a
fait ma semaine. Je ne fais que penser a Charlot depuis l’écoute de ce film. Il
est évident que si vous n’avez pas vu ce film, il faut le voir au plus vite!
Pour vous donner un avant-goût, voici une petite bande annonce
du film :