lundi 22 avril 2013

Impitoyable


 
 
Titre : Impitoyable
 
Réalisateur : Clint Eastwood
 
Date de sortie : 1992
 
 
 
Synopsis
Le film se passé vers la fin du 19e siècle, dans une petite ville dénommé Big Whiskey. Tout le film tourne autour d’un évènement : un cow-boy a violenté et coupé au couteau une jeune prostituée. En échange, le shérif demande à ce cow-boy, ainsi qu’à son ami, de donner au propriétaire du saloon quelques-uns de leurs chevaux. Trouvant la punition trop faible, les prostituées du bordel réunissent leurs argents pour donner une rançon à celui qui réussira à tuer les deux cow-boys. C’est à ce moment qu’un jeune homme dénommé le Kid, se disant un tueur, va chercher un vieil assassin connu pour ses nombreux crimes, pour sa violence de ses crimes, mais également pour sa compétence du tir au fusil. Dénommé William (joué par Clint Eastwood), l’ex-criminel va prendre cette rançon à cœur, car il en a besoin pour ses deux jeunes enfants. Il va aller chercher son vieil ami de crime pour faire, pour la dernière de leur vie, leur criminel. C’est ainsi qu’ils vont faire ce qu’ils savent le mieux faire, soit tuer!

Caractéristiques
Ce film est de style western par les nombreuses caractéristiques que nous pouvons remarquer lors de l’écoute de l’œuvre. Tout d’abord, les lieux sont situés dans l’Ouest des États-Unis, dans un petit village. L’époque est située vers la fin du 19e siècle. Les personnages sont typiques au western : il y a le shérif (Little Bill), des cow-boys, des prostituées, des assassins, des tueurs à gage et (English Bob), bien sûr, le héros avec son ancien ami et leur cheval. D’ailleurs, le cheval de William est quasiment considéré comme un être humain. Les décors sont principalement des déserts, le saloon du village, les montagnes et la ville avec la seule rue. Il y a des accessoires tels que les nombreux fusils (utilisés par tous les cow-boys), de couteaux (utilisés par tous les cow-boys), et même du fouet (utilisé par le shérif). Il y a des thèmes principaux tels que le déplacement (lorsque les personnages principaux de l’histoire poursuivent les cowboys qui ont violenté la jeune prostituée) la vengeance (le meurtre des deux cow-boys) et le travail (le travail de tueur à gage, mais aussi de fermier que William pratique). Quelques aspects techniques sont utilisés tels que le plan américain (lorsque William entre dans le saloon à la fin du film) et les très gros plans (utilisés sur William lorsqu’il se fait coudre la peau du visage). Bref, cela prouve que ce film est bien de style western.

Critique
J’ai beaucoup apprécié ce film. En fait, il est rare que j’écoute des films westerns, cependant j’ai bien apprécié celui-ci. Le scénario est fort intéressant par l’action qui se passe. Il nous tient en haleine tout le long du film. Plus le film avance, plus nous nous attachons aux personnages importants et même les moins importants. Pour ma part, je me suis attaché de plus en plus à William Munny et à son ami. J’ai aussi développé un sentiment de compassion pour Delilah. J’espérais un peu qu’elle finisse avec le William! J’ai également apprécié l’ambiance qui règne dans ce genre de petit village. Le jeu d’acteur était très bien fait, particulièrement celui de Clint Eastwood. Bref, j’ai développé une certaine attirance envers les films westerns, mais également pour Clint Eastwood. D’ailleurs, je compte écouter plus souvent ce genre de film.
 
Voici la bande-annonce du film :
 

 

lundi 15 avril 2013

Troie


 
 
 
Titre : Troie

Réalisateur : Wolfgang Petersen

Année de sortie: 2004

 
 
 
 
 
 
 
Synopsis
Plusieurs centaines d’année avant J.-C., des citées dénommé Spartes, Mycènes et Troie étaient constamment en guerre. Un jour, grâce à un mariage arrangé, ces trois citées feront la paix. Cependant, Hélène, reine de Spartes, aura une aventure amoureuse avec l’un des princes de Troie, soit Pâris. Cela créera de nombreux conflit entre les citées et déclenchera une guerre. Tous les coups seront permis, et même si cela implique de faire combattre des supposés demi-dieux, ou d’offrir un gigantesque cheval fait en bois…

Les caractéristiques du film
Ce film est une œuvre de style péplum par ses caractéristiques. Tout d’abord, l’histoire, qui date de l’Antiquité, fait partie de l’une de celles-ci. En fait, ce film est inspiré d’une des histoires d’Homère, soit l’Iliade, écrite dans cette époque. Elle traite des personnages non pas bibliques, non pas historique, mais bien mythiques tels que les nombreux dieux et demi-dieux de la mythologie grecque (Poséidon, Zeus, Athéna, Achille, Ajax, etc.). Il y a également les lieux, soit quelques villes de la Grèce Antique, qui viennent jouer son rôle dans le style. Il y a des caractéristiques propres au péplum telles que les nombreux figurants, se retrouvant surtout dans les grandes scènes de batail (prenons exemple sur la séquence où l’une des armées, celle d’Achille, se retrouve devant les portes de Troie), de nombreux plans d’ensemble (prenons exemple sur quelques plans de la séquence de l’exemple précédent) et le trucage et la démesure (se retrouvant également lors des scènes de batail). Et donc, c’est pour cela que ce film est de style péplum.

Critique
Il est vrai que je suis un grand amateur de mythologie grecque, mais aussi un grand connaisseur. Or, je dois admettre que ce film est un grand succès, tant au niveau de l’histoire, qu’au niveau du langage cinématographique. L’histoire est bonne, se maintient et possède quelques surprises intéressantes. Le jeu d’acteur de Brad Pitt m’a assez déboussolé, puisque dans ce film, ce dernier n’a pratiquement aucune émotion. Bref, il incarne très bien son rôle. De plus, le langage cinématographique est passionnant. Il y a plusieurs plans d’ensemble et tous sont magnifiques. Il y a aussi plusieurs plans de caméra fort intéressant, cependant pas plus exceptionnel que d’autre film de ce style de film. Bref, ce fut un bon film, plus au niveau du divertissement de l’histoire que du langage, quoique celui-ci est tout de même intéressant.
 
Voici une bande-annonce qui pourrait vous intéresser :
 

dimanche 7 avril 2013

La soif du mal


 
 
 
 
Titre : La soif du mal

Réalisateur : Orson Wells

Date de sortie : 1958
 
 
 

 
 
Synopsis
Tout commence avec une bombe à retardement placé dans la voiture d’un riche homme. Ce dernier ainsi qu’une jeune dame prennent place dans cette voiture et l’utilisent pour traverser la frontière américaine. Une fois passé, la voiture explose. Il y aura donc deux détectives qui devront inspecter ce crime : Mike Vargas, un détective Mexicain, et Hank Quinlan, un détective américain, se feront la compétition. Cependant, Vergas constatera qu’il y a de la corruption même dans le domaine de la justice.

Les caractéristiques du film
Ce film fait partie de la catégorie du film noir à cause de ses caractéristiques. Tout d’abord, il y a des thèmes distincts tels que les crimes, la vengeance, la ville, la nuit, et une forte dose d’érotisme (du moins, pour l’époque). Il y a également les personnages typiques tels que les détectives, justes ou fourbes, les criminels ainsi que la femme fatale. Il y a également une touche stylistique dans la sorte d’éclairage, soit le jeu du clair-obscur dans presque la totalité du film ainsi qu’un grand nombre de plans en plongées ou en contre-plongées. Il y a évidemment des huis clos oppressif, tel que le meurtre fait par Hank Quinlan lorsque la femme de Vergas dort. Bref, sans oublier les intrigues du film, le film est typique à cette catégorie.

Critique
J’ai réellement apprécié cette œuvre cinématographique. J'avais déjà écouté un film du célèbre Orson Wells, soit Citizen Kane, et celui-ci m’avait renversé. J’avais donc une attente aussi élevée pour ce film. Je dois admettre que j’ai été aussi épaté par sa splendeur et que j’ai réécouté la première séquence au moins une dizaine de fois, car je n’en croyais pas mes yeux. En bref, ce qui fait la magie de cette œuvre est le professionnalisme de celle-ci : le jeu d’acteur est extraordinaire pour l’époque, les plans de caméra sont uniques et les images sont magnifiques. Il y a également de très beaux paysages et décors. L’histoire est également très réfléchit, il ne faut donc pas manquer 5 minutes du film sinon, il va y avoir des incompréhensions. Donc, c’est une excellant film et il suffit de le voir pour comprendre dans quelle état nous sommes après la vision de ce film.


Pour vous donner un avant-goût, voici une petite bande annonce du film :
 

samedi 2 mars 2013

King Kong






Titre : King Kong

Réalisateur : Peter Jackson

Date de sortie : 2005






Synopsis
Cette histoire se déroule vers les années 1930. Carl Denham, un réalisateur de film, se fait couper les budgets pour son film. Celui-ci décide tout de même de le faire. Il vole ses propres équipements, se trouve une nouvelle actrice ainsi qu’une équipe pour le suivre dans son aventure. Son idée de tournage est de tourné sur une île mystérieuse dont on ne connaît pas l’emplacement, sauf si nous avons la carte pour s’y rendre. Cette île se dénommé l’Île des crânes...
 
Caractéristiques
Ce film a la caractéristique d’être un film avec un univers crédible et réelle ainsi qu’avec des évènements et des créatures irréels, donc fantastiques. De plus, à certains moments du film, nous pouvons ressentir la peur. Évidemment, les personnages de l’époque des dinosaures mélangés avec les êtres humains viennent approuver le fait que ce film est fantastique. Il y a plusieurs aspects techniques comme les effets sonars, le climat instable sur l’Île des crânes ainsi que lorsque le gorille est en ville et l’univers nocturne. Le thème de l’humain versus les géants est de mise. Bref, tous ces aspects pour prouver que ce film est bien fantastique.
 
Critique
King Kong est un excellent film. Les effets spéciaux sont tout aussi impressionnant que l’histoire. Il est vrai que l’histoire était du déjà-vu, puisque cette histoire est semblable à l’histoire de 1933, mais rien n’empêche que Peter Jackson a su mettre du sien à l’intérieur. Malgré sa longueur, le film est très attrayant. Nous restons captivé jusqu’à la tout fin du film. Personnellement, la fin m’a déçue, mais je comprends que ce film est resté fidèle au premier King Kong. Le jeu d’acteur est impeccable et même qu’à certains moments du film, nous oublions totalement que toutes les créatures où se trouve le «gorille» ne sont pas vrai. Bref, il est évident que ce film est un film à voir.


Voici la bande-annonce du film :
 


samedi 16 février 2013

L'Homme à la caméra


 
 
Titre : L’Homme à la caméra

Réalisateur : Dziga Verov

Date de sortie : 1929
 
 
 
 
Critique du film
L’Homme à la camera, quoiqu’il est muet, est un film qui en dit long. Pour ma part, j’ai décrypté dans ce film plusieurs messages. Puisque c’est un film mettant en scène que des évènements de la vie courante, il y a plusieurs tabous ainsi que des actions banales qui sont révélés. Cela nous permet d’analyser les différences entre aujourd’hui et le passé pour en décoder des messages. Bref, ce cour résumer pour affirmer que ce film est un merveilleux film. Il est cependant pas celui que l’on devrait louer pour écouter un bon film en bonne compagnie, mais plutôt lorsque nous sommes attentifs et ouverts d’esprit. L’inconvénient de ce film est qu’il ne possède aucune bande sonore. Lorsque je l’ai écouté, il y avait en arrière-plan, un album de Madona qui jouait et cela fut fort agréable puisque l’attention y était d’avantage. En somme, ce film a des raisons d’être coté aussi élevé et je le recommande au passionné de cinéma.

Biographie
Voici la biographie du réalisateur de L’Homme à la caméra et deux autres biographies de deux grands personnages de l’histoire du cinéma soviétique.

Dziga Vertov
Dziga Vertov est né en 1896, en Bialystok, en Pologne. Dès son plus jeune âge, Dziga fut plongé dans la connaissance de tous les domaines de l’art et se veut être un révolutionnaire de pensée. Il finit ces études et  s’adonne à des expériences sonores. Suite à cela, il rejoint la Révolution d’où il deviendra rédacteur et monteur du premier journal filmé. Dès ce moment, il débutera sa carrière de cinéaste. Celui-ci voyagera beaucoup durant sa vie. Il va mourir en en 1954, à Moscou, en Russie.

Lev Koulechov
Lev Koulechov est né en 1899, à Tambov, en Russie. Dès qu’il atteint l’âge adulte, celui-ci dirigera une école de cinéma dans la Capitale de la Russie. Il créera son propre laboratoire d’où il fera ses propres enquêtes sur le cinéma, et son langage. Il deviendra ainsi un grand scientifique du cinéma et créera un effet dénommé l’effet Koulechov. Il réalisera aussi quelques films marquant pour l’histoire cinématographique russe. Il est mort en 1970 à Moscou, en Russie.

Sergei Eisenstein
Sergei Eisenstein est né en 1898, à Riga, en Lettonie. Celui-ci commencera ses études en ingénierie, mais abandonnera ses études pour s’engager dans l’Armée Rouge. À la suite de la Révolution d’octobre, il débuta sa carrière en tant que metteur en scène et décorateur de théâtres. Il fera grand succès et débutera le cinéma peu de temps après. Ses innovations pour le montage de ses scènes cinématographiques vont être extraordinaires. Celui-ci deviendra donc un des principaux pionniers du metteur en scène sur les plateaux de tournages. Il voyagera énormément. Sergei est décédé en 1948, à Moscou.

dimanche 10 février 2013

Quand la Panthère rose s’emmêle






Titre : Quand la Panthère rose s’emmêle
(The Pink Panther Strikes Again)

Réalisateur : Blacke Edwards

Date de sortie : 1976


 

Synopsis
Quelques années auparavant, Clouseau, ou plutôt ses maladresses,  ont fait sombrer son commissaire, M. Dreyfus, dans une énorme folie. Suite à trois années de détention dans un centre psychiatrique, M. Dreyfus est sur le point d’être autorisé à quitter le centre lorsqu’une visite de Clouseau le fait retombé dans une folie. L’ex commissaire va donc devenir un ténébreux criminel voulant qu’une chose : éliminer son pire ennemie… le détective Clouseau!

Caractéristique du film
Il y a de nombreuses caractéristiques reliées au film burlesque. Il y a le running gag. Par exemple, la jeune femme qui tente de le séduire revient à quelques reprises. Également, lorsqu'il essaie de traverser le pont pour se rendre au chateau. Évidemment, le jeu physique du détective Clouseau se démarque et est associer au film burlesque. Les blagues absurdes par rapport au nom des personnes par exemple, ou par rapport au commentaire stupide de l’inspecteur vient directement se lier au genre du film. Par exemple, lorsque Clouseau dit une blague par rapport ‘’aux mains d’acier’’ et qu’il porte un gant de chevalier.

Critique
Ceci est un excellant film. Le détective Clouseau est toujours aussi stupide et drôle du premier au deuxième film de la Panthère Rose. Cependant, celui-ci n’est pas celui ou le détective enquête le plus, où il y a le plus d’énigmes. Nous avons l’impression qu’il n’y a aucune énigme qu’il doit résoudre. Cependant, ceci ne change pas que le détective réussis très bien à détruire tout ce qu’il y a sur son passage et à effrayer tout le monde. Petit clin d’œil qui m’impressionne à chaque fois, lorsque nous voyons le détective avec la panthère rose, il y a plein de clin d’œil que le film fait a d’autre film marquant de l’histoire du cinéma. Cela ajoute un aspect fort intéressant au film. De plus, lors des dialogues du détective fait de nombreux jeu de mot très rechercher, mais ceux-ci passent très vite. Donc nous n’avons pas le temps de tout entendre à la première écoute. En somme, ce film est très bon et mérite d’être vu.

 
Voici un cour extrait du film :

samedi 2 février 2013

Les Temps Modernes






Titre : Les Temps Modernes (Modern Times)

Réalisateur : Charles Chaplin

Date de sortie : 1936

 

 

Filmographie de Charles Chaplin
Le kid (1928)
L'opinion publique (1923)
La ruée vers l'or (1925)
Le cirque (1926)
Les lumières de la ville (1931)
Les temps modernes (1936)
Le grand dictateur (1940)
Monsieur Verdoux (1947)
Les feux de la rampe (1952)
Un roi à New York (1957)
La comtesse de Hong Kong (1966)

Synopsis

Dans ce film, Charlot est désormais confronté aux années d’industrialisation. Il est donc un ouvrier d’une gigantesque usine, où plusieurs malheurs lui arriveront. Il se retrouve donc face aux nombreux problèmes de grèves et de chômage. À cause de plusieurs malentendus, Charlot va se retrouve en prison, ou il se fera des amis et des ennemies. Puisqu’en prison, ce dernier sera bien traité, il fera tout pour ne pas en sortir ou pour y retourné. Entre ces malheurs, Charlot rencontrera une magnifique femme d’où une histoire d’amour commencera…

Les caractéristiques du film
Le film est un film burlesque. Par les simples faits du contenu de l’histoire. Il y a un accent faramineux sur le jeu physique des acteurs et la rapidité des mouvements rapides. Et cela va de soit puisque les personnages ne parlent pas, ou peu. Il y a beaucoup de ‘’running gag’’. Prenons juste exemple sur l’éponge sur la machine qui nourrit les employés qui vient éponger Charlot à chaque fois qu’il mange quelques choses. Elle est répétée si souvent que la blague devient de plus en plus drôle. La bastonnade fait également partie d’une des caractéristiques burlesques et se retrouve dans le film. Par exemple, la machine à faire manger les employés. Charlie ce fait asperger de soupe et ce fait écraser une tarte en plein visage. Il y a également énormément de blagues absurdes qui viennent alimenter l’univers comique du film. Par exemple, lorsque Charlot cherche un morceau de bois en forme de triangle et qu’il le trouve en dessous d’un support a bateau ou lorsque Charlot prend le drapeau qu’un camion a échappé et qu’il se retrouve en tant que leader de la grève. Tout cela font que le film est évidemment un film burlesque.

Critique
Quel merveilleux film! Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à chaque seconde du film. Chaplin réussis si bien à faire parler son corps qu’il n’a même pas besoin de parler pour que nous comprenions dans quel pétrin il s’est embarqué. J’ai été charmé par ce film dès la seconde où le film a débuté. Il y a également dans ce film, une touche sentimentale. Par exemple, lorsque nous voyons l’amie de Chaplin tout émerveillée par le centre commercial. Bref, ce film a fait ma semaine. Je ne fais que penser a Charlot depuis l’écoute de ce film. Il est évident que si vous n’avez pas vu ce film, il faut le voir au plus vite!



Pour vous donner un avant-goût, voici une petite bande annonce du film :