jeudi 27 septembre 2012

Le Chat du Rabbin


 
Titre : Le chat du rabbin

Réalisateur : Joann Sfar et Antoine Delesvaux

Date de sorti : 1er juin 2011
 

Synopsis

Le rabbin Sfar, sa fille Zlabya, leur perroquet et leur chat vivent en harmonie dans la maison du Sfar. Un jour, le chat, qui n’a pas de nom, mange le perroquet à l’insu de tous. Par cet évènement, ce dernier reçoit le don de la parole. Heureux de pourvoir enfin parler, il essaie de séduire sa maitresse Zlabya, car il l’aime profondément. Malheureusement, le rabbin n’approuve pas le fait que le chat passe du temps avec sa fille. Le chat décide donc de vouloir devenir Juif, même s’il doit pour cela faire la bar-mitsva. Peu de temps après, le rabbin reçoit une lettre lui informant qu’il doit passer une dictée en français s’il veut garder son poste. En contre-temps, en recevant une livraison de livre, la famille du Sfar va avoir la surprise d’avoir un russe en prime. Celui-ci va chercher à avoir de l’aide de cette famille pour trouver l’ancienne Jérusalem où vivraient des Juifs noirs.

Le langage cinématographique

Selon mon appréciation du film, parmi le langage cinématographique, les plus impressionnants des plans sont les plans descriptifs. Il y a plusieurs de ces plans dans ce film, puisque les personnages principaux font un voyage. Dans ce voyage, il y a plusieurs lieux que les réalisateurs veulent nous présenter. Ceux-ci sont d’un réalisme impressionnant pour cette sorte de film d’animation en 2D, mais avec une profondeur de 3D en relief.



Critique

Le chat du rabbin est un bon divertissement, mais sans plus. J’ai bien apprécié la manière dont les sujets d’actualité sont apportés. J’ai aimé les quelques clins d’œil que les réalisateurs ont faits. Par exemple, l’évènement où Sfar rencontre un certain explorateur, mais nous savons tous que c’est Tintin. Là où j’ai un bémol, c’est que l’histoire est ennuyante. Il y a peu d’action, mais lorsqu’il y en a, celui-ci est étrange. Prenons exemple sur la bataille qu’il y a entre l’ivrogne et le prêtre de Dieu. De plus, il est parfois très difficile de comprendre ce que les personnages disent puisqu’ils ont un accent. Je dois admettre que, pour ce type de film animé, les graphiques sont bien faits. Cependant, il y a certains moments où ceux-ci sont déplaisants, comme lorsque l’on voit des bateaux sur l’eau, mais que l’eau ne bouge aucunement. Bref, j’ai apprécié écouter ce film, mais je ne le réécouterais pas.

 

Pour les curieux, voyez la bande-annonce du film :




dimanche 23 septembre 2012

The Matrix


Titre : The Matrix

Réalisateur : Andy et Lana Wachowski

Date de sortie : 31 mars 1999
 



            Résumé
Thomas A. Anderson, joué par Keanu Reeves, est un informaticien dans une compagnie, ainsi qu’un professionnel du piratage informatique, dans lequel il se donne comme pseudonyme Néo. Lors d’une journée comme les autres, un certain Morpheus, tente de prendre contact avec lui puisque selon lui, il serait l’élu… Mais l’élu de quoi? Pour quoi faire?


            L'image
Le ‘’split screen’’ : Il n’y a pas de ‘’split screen’’ dans ce film.

La règle des tiers : Quand Néo se réveil, après avoir appris le vrai monde dans lequel il vivait, Morpheus est assis en arrière de Néo, sur la ligne verticale droite des tiers et Néo est couché sur la ligne horizontale du bas de la ligne des tiers. C’est donc un parfait exemple de cette règle des tiers. (46min)

Le champ-contre-champ : Quand Néo se rend dans un club, en suivant le lapin blanc. Il rencontre Trinity et a une conversation avec cette dernière. (10min)

Le hors-champ : Quand Morpheus est prisonnié des programmes et que Néo et Trinity viennent le libérer grâce à un hélicoptère. Nous le voyons se déchainer lui-même (1h32)
La profondeur de champ : Lorsque Néo et Morpheus sont dans la salle blanche et que les divans et la télévision apparaissent. Nous voyons très bien tous les objets ainsi que les deux personnages. (40min)

Le plan-séquence : Il y a des courtes plans-séquences, mais pas assez long pour les nommer comme tel.

            Les plans descriptifs
Le plan de grand ensemble : Lorsque Néo s’envole à la toute fin du film, on voit une vue d’ensemble d’une grande partie de la ville. (2h09)

Le plan d'ensemble : Lorsque Néo se réveille dans une bulle rouge remplie d’un liquide inconnu de même couleur et qu’il constate qu’il y en a des milliers comme lui, dans de semblable bulle rouge.  (33min)

Les plans narratifs
Le plan moyen : Quand Néo est assis sur le plancher du vaisseau et accoté sur le mur et que Tank vient le voir. On peut voir les deux personnages de la tête au pied à ce moment. (46min)

Le plan américain : Lors du combat entre Néo et Morpheus, il arrive fréquemment que ce plan soit abordé. Particulièrement, avant le début du combat. (51min)

Le plan rapproché taille : Lorsque Néo se fait tirer par le patron des programmes. (2h03)

Le plan rapproché épaule : Quand Néo se réveille, après avoir subi les opérations de l’équipage du vaisseau, et qu’il s’enlève l’aiguille qui est dans son bras. (37min)

            Les plans psychologiques
Le gros plan : Dans le lieu blanc, lors de l’échange entre Néo et Morpheus sur la vie présente dans laquelle vie les humains, la caméra est souvent en gros plan sur le visage. (43min)

Le très gros plan : Lorsque Trinity parvient à se rendre à la cabine téléphonique et disparaît. Il y a un très gros plan sur le téléphone et le fil en métal du téléphone. (6min)

Le plan subjectif : Au moment où le patron de monsieur Anderson rencontre Néo parce qu’il est arrivé en retard. Des laveurs de vitres nettoient les vitres, et on les voit regarder la scène. (12min)

            Les angles de prise de vue
La vue en plongée : Lorsque les araignées de l’espace  entre dans le vaisseau pour tout détruire sur leur passage, nous les voyons en plongé à certains moments.

La vue en contre-plongée : Lorsque Joey prend le contrôle du vaisseau et qu’il renifle l’odeur de Trinity qui est couchée sur la chaise par laquelle on peut se rendre dans la Matrix. (1h18)

L'overhead shot : Lorsque Néo décide d’aller rencontrer le fameux Morpheus, et se laisse amener vers celui-ci. L'overhead shot est au moment où Néo monte les marches.  (25min)

             Les mouvements de caméra
Le panoramique horizontal : Il ne semble pas avoir de plan panoramique horizontal majeur dans ce film. Par exemple, il y en a un mineur lorsque les programmes apportent Morpheus dans leur quartier général à bord d’un hélicoptère et que l’on voit un plan sur l’immeuble et l’hélicoptère. (1h31)

Le panoramique vertical : Lorsque que Morpheus amène Néo dans la Matrix, pour aller voir la voyante. Ce moment est tout juste lorsque le téléphone sonne et que l’on voit le groupe assis sur les chaises permettant de voyager dans la Matrix. (1h07)

Le travelling avant et arrière : Morpheus amène Néo dans un exemple de la Matrix pour le faire pratiquer. Il doit suivre Morpheus dans la foule de gens qui marche. (56min)

Le travelling vertical : Lorsque tout le groupe de Morpheus sont cacher dans le mur, et descendent, tant bien que mal, à la vertical pour sortir du bâtiment. (1h21)

Le travelling latéral : Dès l’introduction, c’est lorsque Trinity court sur le toit parce qu’elle essaie de s’échapper des programmes. On la voit monter et descendre les toits en forme de triangle. (4min)

Le travelling circulaire : Le plus beau est évidement celui dont mon professeur nous a parlé. Celui où Néo évite les projectiles d’un des programmes. Tout cela se fait au ralentit pour permettre de nous en mettre plein la vue. Cependant, il aussi un travelling circulaire lorsque Morpheus amène Néo dans la Matrix, pour aller voir la voyante. Ce moment est tout juste lorsque le téléphone sonne pour permettre à ceux-ci de s’y rendre. (1h07)

 
Le mouvement optique avant : Dès la première minute du film, on peut voir des bandes de lettres et de chiffres verts descendrent et former des lignes verticales. (1min)

Le mouvement optique arrière : Il n’y a pas de mouvement optique vers l’arrière.

La caméra épaule : Il ne semble pas y avoir de caméra épaule dans ce film.
 
L'effet de portail : Lorsque Morpheus raconte à Néo comment la Terre s’est détruite et comment ressemble-t-elle dans leur présent par l’entremise d’une télévision. (40min)

L’effet en amorce : Lorsque Néo se fait interroger par les programmes dans une salle d’interrogatoire. On peut voir soit Néo, soit le chef des programmes en amorce. (18min)

L’effet miroir : C’est lorsque Néo rencontre pour la première Morpheus et que ce dernier propose à Néo de savoir les secrets de la Matrix. On peut voir, par l’entremise des lunettes de soleil de Morpheus, les deux possibilités que Néo peut prendre. (29min)

            La critique
The Matrix, film réalisé par les frères Wachowski, est un excellant film de science-fiction. J’adore « l’effet de Matrix » créé par ces frères et instauré dans ce film. Pour un film datant de ces années, les effets spéciaux sont fabuleux. Il y a une telle profondeur à ce film que, même après la troisième écoute, je n’ai toujours pas compris tous les indices laissés par les réalisateurs. Bref, j’ai beaucoup apprécié ce film, et je suis même curieux d’écouter les deux autres films qui suivent.

samedi 15 septembre 2012

La Guerre des Mondes





 Titre : La guerre des mondes (War of the worlds)

Réalisateur : Steven Spielberg

Date de sortie : 22 novembre 2005
 



Synopsys
La guerre des mondes, créé par Steven Spielberg, est un film sorti en 2005. Ray Ferrier (joué par Tom Cruise), père d'une famille divorsée vivant au New Jersey, se fait confier ses enfants par son ex-femme, pour un certain temps. Le soir même, Ray, sa fille, Rachel (joué par Dakota Fanning), et son fils, Robbie (joué par Justin Chatwin) sont confronté à d'étranges phénomènes. Un étrange orage se manifeste et provoque l'arrêt de tout appareil électronique. D'à partir de ce moment, la Terre n'aura jamais été aussi effrayer...


L'image
Le ''split screen'' : Il n'y a aucun ''split screen'' dans ce film.

La règle des tiers : C'est est au moment où le ''serpent mécanique'' entre dans la maison pour vérifier si le lieu est sur pour les extraterrestes. Ray, sa fille et l'homme se cache derrière un miroir pour échapper au regard de la machine. Il se retrouve donc face-à-face, séparé par ce fameux miroir. (1:23:39)

Le champ-contre-champ : C'est au moment Ray et Robbie se lance la balle de base-ball et que Rachel les observe. Les deux hommes discutent à ce moment-là. (0:09:05 - 0:10:50)

Le hors-champ : Lorsque les deux hommes, Ray et Harlan, regardent vers la fenêtre, vers les extraterrestes.(1:29:46)

La profondeur de champ : Lorsque l'on voit Ray et Rachel discutent sur le sofa et que l'on voit, dans le cadre, les deux personnages ainsi qu'une botte en premier plan.(0:12:27)

Le plan-séquence : Le plus beau plan-séquence est lorsque Ray s'enfuit avec ses deux enfants sur l'autoroute grâce à la voiture de son frère. (0:32:00) Cependant, il y a à quelques reprises, des minis plans séquences, mais moins de 1 minute


Les plans descriptifs
Le plan de grand ensemble : Ce plan est dans l'introduction, lorsqu'on montre la planète Terre.(0:01:32)

Le plan d'ensemble : À la fin du film, lorsque l'on montre que toutes les machines, dans la ville, sont détruites (1:48:35)

Les plans narratifs
Le plan moyen : Lorsque Ray retrouve son ex-femme et que Rachel va faire une caresse a cette dernière. (1:46:45)

Le plan américain :Lorsque Ray regarde l'avion qui est de côté et qu'un homme se promène dedans, à la recherche d'eau. (0:42:40)

Le plan rapproché taille : Lorsque Ray parle avec l'homme du sous-sol avec un verre d'alcool. (1:16:02)

Le plan rapproché épaule : Lorsque Rachel chante une chanson, pour ne pas entendre son père qui massacre l'homme du sous-sol, soit Harlan (1:32:55)

Les plans psychologiques
Le gros plan : Lorsque Rachel observe les extraterreste entre deux planches de bois.(1:27:43)

Le très gros plan : Ce plan se trouve dans l'introduction du film, lors du mouvement optique de la caméra vers l'arrière, où nous pouvons voir les cellules dans une goutte d'eau, percher sur une feuille. (0:01:26)

Le plan subjectif : Lorsque Ray et ses enfants sont dans la voiture, et essaye d'éviter les gens qui veulent rentrer dans la voiture, et qu'elle est percutée par un objet lancé par quelqu'un. Ray voit donc par un trou. (0:53:05)

Les angles de prise de vue
La vue en plongée : Lorsque Ray s'est échappé de la machine et qu'on la voit d'en bas, d'où Ray est caché. (0:27:50)

La vue en contre-plongée : Lorsque Ray réussis à retrouver son ex-femme et qu'il marche vers elle. (1:47:26)

L'overhead shot : Dans l'introduction, lorsque l'on peut apercevoir les voitures et les immeubles de haut. (0:01:46)


Les mouvements de caméra
Le panoramique horizontal : Lorsque Ray et ses enfants embarquent dans la voiture de son frère pour s'enfuir des extraterrestes. (0:30:10)

Le panoramique vertical : Lorsque les extraterrestes prennent, grâce à leurs bras mécaniques, les gens dans l'eau, pour les mettre dans des cages. (1:04:16)

Le travelling avant : Lorsque les gens paniques et s'enfonce dans le bateau, puisque les machines spatiales arrivent. (0:59:26)

Le travelling arrière : Lorsque les gens, qui pour la première fois voit les extraterrestes, courent pour s'en échapper.(0:26:33)

Le travelling vertical : Lorsque le bateau coule par la pression émise par la machine et que l'on voit celui-ci s'enfoncer dans la mer.(1:03:46)

Le travelling latéral : Lorsque Rachel change de place pour se cacher du serpent mécanique, qui essaie de regarder les lieux, pour savoir si c'est un lieu sur. (1:21:36)

Le travelling circulaire : Le plus impressionnant est au même moment Ray se sauve avec la voiture de son frère. Mais, un qui est a remarquer, est lorque le serpent mécanique fait le tour du mirroir, pour observer la botte. (1:24:23)

Le mouvement optique avant et arrière : Puisque le zoom est très rarement utilisé, il se peut fort bien qu'il n'a point été utilisé dans ce film. À moins que je me sois trompé avec un travelling.

La caméra épaule : Lorsque Robbie veuxt aller aider les soldats à combattre les extra-terrestes et pour se faire, s'échappe de sa famille en courant sur la colline. (1:07:15)

La critique
Ce film est un excellent film. Il a été créé par l'un de mes préférés réalisateurs. Comme pour la totalité des films à Spielberg, j'ai été emballé par celui-ci. Il m'a dépourvu de tous sens par sa réalisation d'une histoire écrite en 1898, dont je connaissais déjà l'existence. Les effets spéciaux sont formidables et démesurément bien fait. J'ai vraiment aimé le jeu d'acteur, les angles de caméra et la musique qui créaient une mystériosité et un suspense intense.